De tout système totalitaire nait un mouvement de rébellion, et même dans une ville aussi stricte que la notre, ce mouvement a su naitre. Timidement d'abord, chaque résistant agissant dans son coin, certains habitants cachant des proies, mentant au gouvernement, faisant passer des informations, essayant de faire réagir la population comme ils le pouvaient... Et puis, la première explosion retentit. La première depuis des années, la première depuis la crise. Et cette fois elle ne retentit pas n'importe où, mais dans le centre, faisant exploser une banque. Un attentat dirent les médias, un accident selon le gouvernement, mais la vérité finit par se répandre très vite sur la toile. Red Fraction. Cette nouvelle amena rapidement une vague d'espoir chez la plupart des résistants, raffermissant le mouvement. Sur la toile ça ce déchaine, blog vérité, campagne éclair... Bien sûr pour l'instant tout cela reste tant bien que mal étouffé par le gouvernement... Mais pour combien de temps encore?

Red Fraction est un groupe terroriste. N'allez pas cherchez des héros. Surtout pas. Red Fraction n'est autre qu'un groupe de forcenés, se qualifiant eux mêmes de "Suprême Justice". Des terroristes qui n'ont qu'une idée en tête, renverser le gouvernement actuel, refermer ce fossé entre les classes sociales. Une volonté noble? ça oui, mais une détermination à faire peur. Les Red Fraction n'hésitent pas à tremper les mains dans le plat pour se faire entendre : Bug informatique géant, fuite d'informations, Attentats, Manipulation. Ils sont dangereux et extrémistes. Pendant la crise, beaucoup de suicides collectifs furent signé "Red Fraction", faisant le buzz, mais ce n'était que des fanatiques endurcis. Les Red Fractions, personne ne connait vraiment leurs identités, ce qui est sur c'est qu'ils sont composés de personnes influentes autant dans la résistante, le gouvernement, la police, les médias ou les milieux underground. Il existe 5 noms connus de Red Fraction dans les milieux underground à ce jour, Dust, Dim, Gilgamesh, Beretta... Etla plus connus de tous, l’ennemie publique numéro 1: Air Maxima.

Depuis toujours la plupart des journalistes sont soumis à un contrôle stricte de ce qu'ils publient dans les journaux officiels tel que le "Daily City". Mais depuis quelques temps, les tensions dans la ville aidant, une nouvelle race de journalistes voit le jour. Se faisant porteurs de la vérité ceux là, celle d'une traque dans les moindres recoins de la ville! Vrais enquêteurs, il n'hésitent pas à chercher des sources, des espions, et à balancer la vérité toute crue sur leurs sites, radio pirate ou leurs journaux, de façon subtile. Toujours dans les pattes de tout le monde à l'affut du dernier scoop, de la dernière bourde du gouvernement, certains ne réalisent pas la position dans laquelle ils se mettent...

De tout temps, la mafia fut toujours là. Mais plus que "Mafia" ces gens préfèrent le terme "d'association criminel". Plus ou moins étendue et plus ou moins "populaire" celle ci brilla comme jamais au temps de la crise. Ils sont maintenant presque dissous. Presque. Malgré la fin de la crise, les nouveaux problèmes de la ville leurs sont favorables. La vente de drogue augmente, et il y aura toujours des gens à la recherche d'argent facile, et les jeunes les plus perdus, sont à la recherche d'un cadre familial et convivial qu'ils n’ont jamais connu; ils trouvent dans ces associations criminelles une famille d'adoption. Sur tous les fronts, neutres ils sont, attendant patiemment, regardant la ville s'entretuer d'en bas pour s'assurer une place confortable à coté du gagnant. Dans notre ville il existe trois grandes associations criminelles.

Pride • Le clan le plus soudé de tous, dirigé par la famille Ferez. Pride s'occupe de tout ce qui concerne l'argent, le paiement des dettes, les ventes d'armes... tout ce qui touche à l'économie en somme. Très influent au niveau de la ville, Pride est connu pour fournir potw de vin et informations, autant au gouvernement qu'à la résistance. Ils ne marchent qu'à l'argent, en somme, c'est au plus offrant.

Greed • Ce clan s'occupe de fournir constamment la ville en drogues. Nombreux, il se compose de tellement de membres qu'eux mêmes ne se connaissent pas tous entre eux. Une chose est sûre, ils n'ont qu'un chef, "Bondz", le baron de la drogue de la ville, qu'ils respectent tous au possible même si certains rêvent en secret de le détrôner. Soit. Personne n'y ai arrivé de toute façon.

Wrath • Ce clan regroupe tout les gangs de la ville. Des jeunes violents, perdus et désillusionnés qui pour la plupart son trop désordonnés pour survivre seuls. La plupart sont des mineurs, des drogués, des prostitués, des fugueurs... Tous n'ont qu'une chose en commun : ils n'ont plus foi en rien et surtout pas en cette ville de merde. Ils savent très bien que quoi qu'ils fassent, ils finiront à l'Enclos alors autant vivre à fond, advienne que pourra!

NDRL: être dans un clan ne vous empêche pas de faire parti de la résistance~

Nouveau jeu à la mode dans la ville, que nous devons aux associations criminelles, même si elles le réfutent. L’Igra est un jeu de combat se déroulant dans les plus sombres endroits des secteurs, et même l'Enclos, un jeu durant lequel les participants peuvent mourir. Les participants s'inscrivent en ligne à l'Igra. Ils se voient confier une plaque nommée "Jester", car gravée d'un Joker. La plaque doit être gardée bien en vu sur le sol. Les participants doivent alors mettre leur vie en jeu afin de récupérer la plaque des autres participants. Lorsqu’un participant y parvient, le combat s'achève et le gagnant remporte une grosse somme d'argent. Le combat ne se termine que lorsqu’un des participants meurt, ou perd. Si l'un des participant abandonne, le gagnant reçoit sa plaque et est libre du destin de celui-ci.

L'igra s'est très vite popularisé à travers la ville car c'est un moyen "simple" de se faire de l'argent: Très vite médiatisé, les combats de l'igra attirent souvent de riches fans voulant parier. L'igra est bien évidement illégal et toute participation à l'igra entraine pour les mineurs un allé simple à l'enclos et pour les adultes, la prison. Enfin, le gouvernement aura beau dire, aucune arrestation réelle n'a encore été faite sur un combat de l'igra, et pour cause. Qui que soit les organisateurs de l'Igra, ils savent couvrirent leurs traces. Jamais le même endroit, jamais la même date ou période, l'annonce d'un prochain Igra se fait toujours par messages subliminaux ou codés ... Bref, une vrai machination, et quand celle-ci est en route, difficile de l'arrêter.